J'aimerais décrire succintement mon expérience de lecture de la biographie de Gândhî. Je ne terminerai probablement jamais le livre. Je me suis rendu jusqu'à la page 350 (sur 600). C'est malheureux, je déteste ne pas terminer un livre. Dans ce cas-ci, je dois dire que c'était au-delà de mes forces. Trop de détails inintéressants ou de répétitions ont fini par complètement me faire déconnecter. Remarquez, c'était peut-être en partie l'objectif, c-a-d, de nous faire ressentir certains aspects de sa personnalité. Gândhî décrit par Jacques Attali m'apparait comme un homme obsessionnel, dur, entêté, pieux et convaincu. C'est peut-être justement ces qualités qui font de lui un homme aussi remarquable. Mais la lecture en était rendue quasi-désagréable. Je souhaiterais lire une autre biographie de Gândhî mais plus courte, plus droit-au-but, parce qu'il me manque encore de nombreux faits marquants sur sa vie.
Gândhî, s'il était chrétien serait probablement un saint (l'histoire ne dit pas s'il a fait des miracles). Je le place au panthéon des hommes les plus grands que je connaisse, avec Benjamin Franklin et Nelson Mandela.
Gândhî, s'il était chrétien serait probablement un saint (l'histoire ne dit pas s'il a fait des miracles). Je le place au panthéon des hommes les plus grands que je connaisse, avec Benjamin Franklin et Nelson Mandela.
1 commentaire:
Même feeling. Pris à la même place dans le livre, pour les mêmes raisons.
Et je viens justement de le ressortir pour essayer d'en venir à bout.
Je te conterai la fin si je réussis.
Publier un commentaire