(...suite) Le problème en ce moment, c'est le parti Québécois. Il n'existe présentement aucune autre alternative viable au parti Libéral, autre qu'un parti indépendantiste, pour gérer la province. C'est hallucinant ! Pour moi, la chose est TRÈS claire. Aux prochaines élections, si Pauline Marois, qui risque de gagner, prend le pouvoir, elle doit pour le bien être collectif, faire un référendum. Ce référendum devra avoir deux conclusions possibles. Soit la majorité vote oui et nous nous déclarons unilatéralement un pays souverain, soit la réponse est non et l'on procède à la dissolution du parti, une bonne fois pour toute. Selon moi, ce débat a suffisamment duré et il nous détourne des vrais problèmes. Pire, faute d'alternative non-indépendantiste, je soupçonne un nombre incalculable de québécois de voter libéral pour ne pas voter pour un parti qui veut la séparation du Québec, ce qui donne comme résultat, l'élection du même gouvernement (attention ! allégation) corrompu que l'on a présentement, trois mandats de suite...
Nous vivons présentement une époque très importante : la nôtre ! Nous avançons inexorablement vers une destinée des moins brillantes. Du moins, c'est ce que m'amène à conclure l'ensemble des connaissances que j'accumule. Non, le présent et le passé n'est pas garant de l'avenir. Vendredi dernier, je disais de manière tout à fait anodine à une dame que je respecte beaucoup que tant qu'il y aura des jeunes, il y aura de l'espoir. Et elle s'est instantanément allumée : "OUI! Exactement !". Cela m'a renforcé dans ma conviction. Cela dit, je disais cela parce que, je vois un tel désintérêt des adultes pour ce qui, à mon sens, devrait nous concerner prioritairement, qu'il n'y aucun autre espoir. Ce n'est pas tant parce que j'ai la "foi" en la jeunesse. Je ne crois pas que notre système d'éducation rend les jeunes de meilleurs citoyens, au contraire. Je déplore ce système éducatif, qui cherche à former des travailleurs en fonction des besoins du marché du travail. Je suis pessimiste par rapport à l'avenir. C'est un jugement. La terre sera peut-être plus polluée, plus chaude, plus chaotique, les ressources moins diversifiées. Elle n'en restera pas moins habitée par des humains, façonnée par des humains, pour des humains. La terre demain sera belle, mais elle ne sera plus ce qu'elle était. C'est de la nostalgie.
Nous vivons présentement une époque très importante : la nôtre ! Nous avançons inexorablement vers une destinée des moins brillantes. Du moins, c'est ce que m'amène à conclure l'ensemble des connaissances que j'accumule. Non, le présent et le passé n'est pas garant de l'avenir. Vendredi dernier, je disais de manière tout à fait anodine à une dame que je respecte beaucoup que tant qu'il y aura des jeunes, il y aura de l'espoir. Et elle s'est instantanément allumée : "OUI! Exactement !". Cela m'a renforcé dans ma conviction. Cela dit, je disais cela parce que, je vois un tel désintérêt des adultes pour ce qui, à mon sens, devrait nous concerner prioritairement, qu'il n'y aucun autre espoir. Ce n'est pas tant parce que j'ai la "foi" en la jeunesse. Je ne crois pas que notre système d'éducation rend les jeunes de meilleurs citoyens, au contraire. Je déplore ce système éducatif, qui cherche à former des travailleurs en fonction des besoins du marché du travail. Je suis pessimiste par rapport à l'avenir. C'est un jugement. La terre sera peut-être plus polluée, plus chaude, plus chaotique, les ressources moins diversifiées. Elle n'en restera pas moins habitée par des humains, façonnée par des humains, pour des humains. La terre demain sera belle, mais elle ne sera plus ce qu'elle était. C'est de la nostalgie.
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