mercredi 20 janvier 2010

Une game de "Trou d'cul"

Plusieurs sujets me tiennent particulièrement à coeur ces temps-ci, mais le cas qui nous intéresse aujourd'hui c'est : sommes-nous manipulés par des forces, par des intérêts, qui passent outre les lois, la morale et les règles d'éthique qui nous paraissent les plus élémentaires, les plus humaines, les plus sensées? La déclaration des droits de l'homme concerne-t-elle seulement la masse alors qu'une petite élite peut s'en laver les mains. Sommes-nous confinés à une grosse partie de "Trou de cul" où pour lutter contre les institutions qui abusent, il faut suivre des règles "justes" alors que ceux qui en ont les moyens les outrepassent allègrement? Ou, autrement dit, sont-ce ceux qui dirigent qui énoncent les règles du jeu ou est-ce réellement les dirigés, comme il se devrait en théorie dans toute société démocratique ?

Nous avons donc en réalité de multiples questions à répondre. Traitez-moi de conspirationiste si vous le voulez, je me réclame tout simplement du droit de réfléchir et de remettre en question les présupposés établis.

Il y a un principe fondamental, un présupposé sur lequel je ne reviendrai pas, pour l'instant, c'est à dire, la liberté d'expression. C'est l'outil le plus essentiel, le plus indispensable pour lutter contre les institutions en place, contre l'ordre établi.

Premier constat alarmant : le désintérêt de la population pour les questions politiques qui la concerne. Il est dramatique de constater que même lorsqu'on lui donne les outils pour lutter, et pour choisir ce qui est bon pour elle, la population ne s'en sert pas. La population ne veut plus jouer. Je devrais immédiatement changer de vocabulaire : chaque individu de cette société semble de plus en plus désintéressé par ce qu'il advient de notre propre sort. Qu'est-ce qui l'intéresse alors ? Son divertissement. Son bonheur. Son propre sort ? Et encore, ça reste parfois dans le très court terme. Sa petite personne prime. MA petite personne prime. Et on a de plus en plus l'impression que la réponse à notre bonheur personnel, ne passera pas par le bien être collectif. Soit. Alors quelle direction prendront les dirigeants que nous élisons les yeux fermés ? Prions pour que ce soit celle qui nous avantages...

Les inéquités sociales entre les pays riches et les pays pauvres sont aussi abhérantes que les inéquités entre les riches et les pauvre au sein de mon propre pays. Dans un cas comme dans l'autre, j'ai vaguement l'impression que grace à un système sophistiqué dont toutes les ramifications sont paraissent encore difficiles à saisir, les pauvres travaillent pour les riches. Les pays comme les individus. Les gens sont captifs d'un mode de vie, d'un ordre établi selon lequel, les gens bien établis, font travailler pour eux les gens qui doivent échanger un service pour subvenir à leurs besoins, quels qu'ils soient.

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