Tel est le titre d'un article de Louis-Gilles Francoeur paru aurjoud'hui dans Le Devoir. Cet article m'a beaucoup fait réfléchir car il touche à la notion de liberté et à la démocratie, sujets qui me tenaient déjà beaucoup à coeur. Ce n'est certes pas la première fois que j'entends ou lis des trucs de la sorte : les chefs d'état sont des pantins, c'est l'argent qui mène le monde, la politique c'est du théatre, etc. Les exemples n'en finissent plus et à raison. Comme le dit si bien Francoeur : Si le citoyen se sent dépossédé de sa démocratie, c'est qu'il l'est, conclut l'analyse. Je cherche, à tord ou à raison, quel serait le moyen le plus efficace d'investir mon énergie pour changer le monde. Et évidemment, je n'ai toujours pas trouvé d'approche qui en vaille la peine. Alors je ne fais rien. et je rêve à la prochaine bouteille de vin que je boirai, au prochain magret de canard que nous ferons cuir. Comme le disait un de mes amis : "Tu es de la gauche caviar". Presque touché. Pas si sûr que je sois à gauche...
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